Alors que j’écoutais moi aussi David, Eleanor, Mariana, Delia, Genk, Jean, Mark, Pierre, Shima, Simon, Zin et Virginie
exposition collective
13 janvier
5 mars 2017
boîte Nike, dubplate, 27 x 27 x 4,5 cm
Pierre Paulin développe quant à lui une pratique de l’écriture et de l’art basée sur la combinaison et la traduction de formats et de signes culturels.
La pièce Complexe de 1986 n°4, #2 fait écho aux cylindres de rotogravures exposés précédemment. L’artiste y avait notamment gravé un texte de sa composition sur l’angoisse produite par l’achat d’une paire de baskets avec une image d’un disque de groupe Run DMC, auteur de la chanson My Adidas. L’œuvre ici exposée propose une variation : elle se compose d’un dubplate, disque microsillon en acétate gravé d’un morceau de musique, contenu dans une boite fabriquée à partir d’un emballage de chaussures de sport. Ce disque est destiné à être activé en soirée pour user les baskets en dansant sur un remix musical. Celui-ci a été produit à partir de la bande-son d’une vidéo de Pierre Paulin, intitulée Complexe de 1986 n°4, Conversation avec la voix du poème de Boom boom, run run* qui retrace de manière personnelle l’histoire culturelle de la basket, objet de grande consommation produit en série et mode d’expression d’un look singulier.
* Boom Boom Run Run est également le titre de l’exposition personnelle de Pierre Paulin, présentée au Plateau, Frac Île-de-France du 20.09 au 17.12.17
exposition collective
13 janvier
5 mars 2017
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