Motherfuckers never die

Jota Castro

Jota Castro, Motherfuckers never die, vue de l'exposition ...pour Amiel, La Criée centre d'art contemporain, Rennes, 2004 © Marc Domage

3 caissons lumineux, 180 x 120 cm chaque caisson

Motherfuckers never die (Les fils de putes ne meurent jamais) : trois caissons lumineux de couleurs différentes présentent des listes de personnes et d’institutions qui, selon Jota Castro, occupent des positions controversées.

Le caisson violet dresse l’inventaire des entreprises et des multinationales qui régissent l’économie mondiale.
Le caisson rouge est une liste subjective qui énumère des noms de politiques et d’intellectuels.
Le caisson noir énonce les noms d’islamistes kamikazes au Moyen-Orient.

Pour chaque caisson, présenté sous la forme d’une liste ou d’un plan de table de réunion, Jota Castro a utilisé la typographie officielle des Nations Unies, ce qui provoque des rencontres ambiguës.

courtesy galerie Massimo Minini, Brescia

Pour aller plus loin

… pour Amiel

Jota Castro

4 novembre
24 décembre 2004

Expositions à la Criée